Par Michael Bakemba
Le ministre des Affaires foncières et notable du Grand Bandudu, Lumeya Dhu Malegi s’est engagé à mener une offensive médiatique dans sa nouvelle démarche politique pour combattre le fléau liée au tribalisme prenant racine dans la mémoire collective de certains groupes de personnes susceptibles de mettre en péril la cohabitation Pacifique entre les Congolais.
Ces actes négatis du tribalisme ont éclaté au grand jour, en marge de l’élection de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême et poussé les frères des deux plateformes politique à se comporter en adversaires farouches alors qu’ils sont tous des cohéritiers de l’idéologie politique prônée par le père de la démocratie congolaise Étienne Tshisekedi. Dans une telle perspective, le patrons des affaires foncières a plaidé récemment devant les notables Kongo, Luba et autres pour le rejet des querelles et violences tribalo-ethnique dans le Grand Bandundu considéré comme une terre où régnait une cohabitation pacifique entre toutes les tribus du Congo.
“Il faut terroriser le tribalisme. Plus question de tolérer ce genre des discours qui se développent à Tshangu. Nous voulons que la base de Lamuka, CACH et FCC soit ensemble pour seller cette unité”, a lancé Lumeya Dhu Malegi, qui s’oppose aux violences interethniques dans les pays. Il a demandé aux acteurs politiques congolais d’arrêter le discours séparatiste et de privilégier la paix, l’unité et la cohésion nationale dans l’espoir de bâtir au cœur de l’Afrique un Congo grand, fort et prospère.
“Nous condamnons tous les leaders politiques qui laissent passer ses messages xénophobes”, basés sur la propagation de la haine et de la division parmi les frères paisibles du pays. Le 1er Vice-président de la Dynamique pour la Démocratie au Congo, DDC, à part ailleurs demander aux artisans de la Paix de relayer le message des chefs coutumiers du Grand Bandundu, du Grand Kasaï et du Congo central d’éviter d’agresser les membres de telle ou telle tribu.

