La cour de cassation a rejeté à son tour ce mercredi 5 août la demande de mise en liberté provisoire de Vital Kamerhe.
Condamné à 20 ans de prison pour détournement des 50 million de dollars dans le dossier dit de 100 jours, le président de l’Union pour la nation congolaise devrait rester encore à la prison centrale de Makala.
Cette peine était assortie d’une période de 10 ans d’inéligibilité. Pour les avocats de Vital Kamerhe, la condamnation de première instance de leur client constitue une injustice.
La Rédaction