La ministre d’État, Travail et Prévoyance sociale, Néné Ilunga Nkulu, a salué le travail abattu par les experts sur la mise en œuvre des réformes susceptibles d’une amélioration palpable d’un environnement sain des affaires en RDC.
C’était à l’occasion de la clôture de l’atelier qui a réuni à Kinshasa pendant trois jours les experts des secteurs publics et privés dont la Fec, Copemico, Fenafec dans l’objectif d’élaborer une feuille de route préliminaire des réformes Doing Business 2020.
Plusieurs propositions formulées ont été validées par les différentes structures réformatrices.
Pour la ministre Néné Ilunga, ces réformes demeurent l’un des plus grands piliers de la vision du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilambo. Initiées depuis 2015, ces réformes concernaient l’INSS (actuellement CNSS), l’INPP et l’ONEM qui, ensemble avec la DGI, devraient constituer guichet unique de déclaration et paiement des impôts, Taxes et cotisation sociales.
“On peut dire que cela est une réussite car commencées avec les grandes entreprises auxquelles nous le voyons s’étendre progressivement aux petites et moyennes entreprises sur toute l’étendue du territoire national”, a indiqué la ministre d’État en charge du Travail, Emploi et Prévoyance sociale.
Prenant la parole, le DG de l’ANAPI, Anthony Nkinzo s’est appesanti sur les avantages qu’offrent cette feuille de route en RDC. Ce, avant de revenir sur les attentes de l’Agence Nationale pour la Promotion des Investissements (ANAPI) aux décideurs Congolais.
«Ces attentes consistent au respect du calendrier des actions à mener par l’Anapi de l’appui et contribution effective de tous les ministères, services et établissements publics, pour relever les défis et enfin l’appropriation institutionnelle des reformes», a souligné Anthony Nkinzi.
Michaël R. Bakemba/ carmelmedia.info