Comme l’indique si bien ce titre intriguant, il s’agit là d’un acharnement contre la gestion orthodoxe de la présidente de l’Assemblée nationale, Jeannine MABUNDA, pour ne pas la mentionner, est clairement la cible des certains dinosaures qui ont autre fois, avili le côté social de ladite chambre et de tous ceux qui y travaillaient.
En effet, une pétition (Motion) est entrain d’être signée par quelques députés Nationaux et ce, sous les coups des biceps des billets verts, avec des sommes allant de (5000 $ ,10.000 $ jusqu’à 15.000 pour les plus exigeants).
Les motivations de cette pétition inopportune se résument en une seule phrase ” la jalousie de n’avoir pas accompli en leur temps, ce que MABUNDA fait aujourd’hui à la tête de la chambre basse. L’actuel speaker de l’assemblée nationale s’est complètement écarté de la ligne de gestion autre fois voulue par ses prédécesseurs, aujourd’hui, les administratifs n’accusent presque plus de retard de paiement, certaines des rubriques de paie ont été sensiblement humanisées et le cadre du travail rénové, ce qui lui vaut depuis un temps des ovations de la part des agents et cadres de l’assemblée nationale, chaque fois qu’elle effectue son entrée dans la salle, accompagnée de tout son bureau. Même son de cloche du côté des élus dont la fréquence et la régularité de la paie dépassent de loin les législature précédentes. Seuls quelques députés se laissent allègrement corrompre par des cassiques ayant très mal géré l’assemblée nationale par le passé.
Jeannine MABUNDA, comme d’aucuns le savent déjà, n’est point dans la logique de ses prédécesseurs qui gaspillaient l’argent de l’État avec des impressionnante escortes de plus de 10 gros cylindrés, mais plutôt, elle se range du côté d’une nouvelle donne novatrice j’ai cité ” Dans la proximité, à l’écoute du peuple.
Ces dinosaures qui cherchent noise à la Jeannine MABUNDA ont certes un agenda caché de nature à maintenir cette institution dans les conditions de vie inhumaine du passé.
De l’ordre, de l’organisation, de la rigueur administrative et de la rationalité font partie de la gestion de MABUNDA, vouloir le contraire de ces valeurs, c’est aller dans la logique de la megestion et de la corruption qui déshonore la chambre basse dû parlement et par ricoché décrédibilise aussi les élus du peuple vis-à-vis de leurs électeurs. Il sied donc d’en appeler à la conscience des députés à ne pas donner vie à une pareille initiative du reste révolue honteuse.
Le presse Parlementaire.